C’est par une caresse que tout a commencé, animant nos deux corps de désirs subtils, de ma bouche affamée te couvrant de baissés tel une déesse à moi tu t’es donné.
Dans cette lutte acharnée du plaisir recherché Sur ce lit de bataille maintenant tout défait ton corps haletant là sur le coté , tes longs cheveux défait sur tes yeux éclipsés nous nous sommes endormies sur le même oreiller !
Une moiteur ruisselante sur nos corps fatigués du plaisir assouvit et enfin satisfaits, ivre de bonheur nos deux âmes amoureuses maintenant apaisées par tant de voluptés.
Ho chimère ho déesse, dans mes nuits tu reviens encore et encore apaiser mes souffrances, de tes douces caresses sur mon âme impatiente !
Je hais quand l’aube vient et loin de moi t’emporte me laissant esseulé tel une âme morte, Impatient de toi et de nos retrouvailles je prie par tous les dieux pour que le jour défaille.
Qu’ils bannissent la lumière et d’une complice éclipse éteignent le soleil et te rende à mes nuits.
Pour Qu’ils exaucent mes vœux, mes célestes prières je tends les bras au ciel demandant instamment qu’ils fassent que la nuit soit pour que nous soyons amant !
Afin de te garder prés de moi mon aimé, je ferais naître la mer des déserts desséchés, renaître la passion dans les cœurs abusés fleurir les moissons sous les neiges de décembre tout cela que pour toi ma douce ma tendre aimé.
Ma déesse, je porte encore en moi les douces sensations de nos folles nuits passées, tes parfums tes saveurs et tes lèvres si douce goulûment embrassée à ton goût parfumé.
Tu n’es que tendresse, douceur, ma vérité dans mes nuits d’insomnies que tes caresses apaisent, le parfum enivrant que ton corps a laissait comme seul témoignage de toutes nos nuits passées
.Les effluves subtils de ta peau raffinée sont en moi imprégné je le sais à jamais, il suffirait que toi mon rêve ma destinée pour faire naître en moi l’amour tant recherché.
Ma douce, ma Princesse je te le dis enfin, ici te le confis en prose ou en quatrain, tu es le doux parfum de mes nuits empruntées tu es cette saveur du bonheur retrouvé, cette sérénité, que j’avais tant cherché !
Ma douce, ma déesse te souviens-tu du temps ou il était si bon, quand nous étions amant !

Ah qu'il est loin ce temps,
Ce temps où tu as fait tant
Pour lui plaire en son royaume.
Le désir frissonne encore sous ta paume.

Berhe 8-)