Chérir, ô, vous chérir, infiniment, encore,
Hiérophante du vers, chaque jour bien plus fort … !;
Ah ! Béatrice, vous, "al Dante", que j’adore,
Ne vous offusquez point lorsque mon cœur, à tort,
Titubant et ivre, à vos charmes succombe,
Et qu’en un chant idéal, imitant la colombe,
Roucoule mon âme pétrie de votre essence…
Essentielle à l’âme..., vous m'êtes, Providence...,
L’âme cette céleste et secrète puissance,
L’âme, mienne, égarée, parfois, en des entractes
Envoûtants quand pleuvent vos mots en cataractes…


MM
Copyright

un très beau poème pour Béatrice... que j'aime beaucoup!

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Femme, ô Vous chérir
votre sein aime tressaillir
quand enchantée la lyre
Vous berce, sous un ciel saphir..

j'ai aimé vous lire

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Poser des mots comme des petites balises, des mots beaux, tristes, qui nous transportent, et qui nous font voyager, rêver, fantasmer...
.

un écrit sublime pour dire l'admiration


amitiés


poesiade

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Mes Romans " LES LAMES DU SILENCE" viennent de paraître chez EDILIVRE
"LE coffret en bois d'ébène " chez Éditions MUSE
Mon recueil de poésie"Tranches de Vies " chez Edilivre

Heureuse béatrice... ;)
Que de sublimes paroles.

>Amitiés
Loola

Superbe acrostiche !!!
Waw heureuse Béatrice !
Waw heureux lecteurs et lectrices

Une belle déclaration pour un bel amour
Mes amitiés
Yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

Sublime, j'adore !

j'adore, merci de ce superbe partage, montezuma, la béatrice de dante fut une très belle âme à l'image de votre poème, merci



yann

Ne vous offusquez point lorsque mon cœur, à tort,
Titubant et ivre, à vos charmes succombe,"""


Exquis !..... j'aime beaucoup votre plume... douce et sensuelle à souhait....


Isabelle....

Joli écrit. IRIS

PARADIS Chant XXI (Vers 25 à 30 et 51)

Dentro al cristallo che ‘l vocabol porta,
Cerchiando il mondo, del suo caro duce
Sotto cui giacque ogne malizia morta,
Di color d’oro in che raggio traluce
Vid’io uno scaleo eretto in suso
Tanto, che nol seguiva la mia luce.
…
« Solvi il tuo caldo disio. »

Dans le cristal qui encercle le monde,
Portant le nom de son seigneur aimé,
Sous le règne de qui toute malice resta morte,
Je vis, d’une couleur d’or traversée de rayons,
Une échelle si haute vers le haut
Que mon regard ne pouvait pas la suivre.
…
« Délivre le désir qui te brûle. »

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"Ni le poète, ni personne d'ailleurs, ne possède la clef ou le secret du monde, je veux être bon." Federico GARCIA LORCA

Merci à vous qui m'honorez de vos passages sur mes rimes. Amitiés

Un immense merci à toi chère Béatrice, chère amie qui m'as inspiré ce cheticrosa...Je t'embrasse...