Chères Oasiennes et Oasiens,
Dans cet écrit, seul un quatrain est une vérité
vécue dans mon entourage, que j'ai voulu marquer.
Les autres ne sont qu'accompagnement d'écrits.
Peine et bonheur,
Assis là , en haut de cette éminence boisée,
Cet anachorète fouillait dans ses pensées,
En scrutant le bord de l’abîme et la vallée,
Dans une vision, étourdie, d’homme effaré.
Dans ces lueurs matinales de potron-minet,
La ravine du passé, pour lui, était un fait,
Celui de l’ostracisme d’une absolue réalité,
Qui le mena vers son exclusion de la société.
Dans sa vie d’époux amoureux, de père idéal,
Au détour d’un virage le destin se trouva fatal,
Et sur un passage éclairé le fatum fut marqué,
Par la disparition de ses anges et sa bien-aimée.
Dans son retranchement il devint grand sage,
Pour les flâneurs qui gravissaient sa montagne,
Sans connaître son histoire, qui en lui, stagne,
Mais écoutaient son altruisme et mots sans ambages.
Par ces oyants, il prit des mesures de cohérent,
Descendre le défilé, pour retrouver l’existant,
Et essayer de se mener à retrouver la chérie,
Qui le pousserait, ensemble, Ã renouveler sa vie.
Antoine
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Quand la "Tolérance" est de mise, l'intelligence devient
intuition ou sensation sans relativité.
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Antoine
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