Les paradis ne sont qu'artificiels,
Simple évasion d'une pensée perdue
Loin du décor de ces sempiternels
Petits domaines faits pour des anges déchus.
Sous les nuages, sur la terre des mortels,
Le cerveau dans un carcan sociétal,
Seuls les simples d'esprit savent sans pareil
S'émerveiller de leur destin létal.
Au cœur d'un jardin d'Eden bétonné
Ou plus rien ne vaut de s'émerveiller
Mon cerveau est plus riche qu'un monde uni !
Il dilapide ce qui ne devrait être,
La chair matérielle peut disparaître,
J'honore de la vie son ultime défi !
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Stéphane
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Amitiés littéraires à tous.