Imprégnant son corps d'étoiles, à coups de délires.
Imprégnant son corps d'étoiles, à coups de délires.
La tourmente aura divinisé mes rêves anonymes.
Plus légère et amoureuse, tu auras dansé sur les flots.
D'un désir d'amour éternel, sur de hautes cimes.
De ton corps embrasé, et tes yeux en seront des joyaux.
Plus douce encore sera ta peau, je te l'assure
verts tes yeux, que le soleil a dépeinte.
Et ces taches de rousseur, sur ton visage d'azur.
Me lavera de mon désespoir, d'un amour si empreint
.
Et alors, je me suis baigné dans tes poèmes.
Un empire d'ondes, d'astres lactescents,
Flammes dévorantes sur l'azur vert, d'un amour blême.
Imprégnant ton corps d'étoiles, à coups de délires.
Mouvements lents, où l'amour rutile le jour,
Plus fort encore que l'ivresse, plus vastes les lyres.
Qui fermente les rougeurs âcres de l'amour.
Passions, d'embrasement, d'éclairs, et de trombes.
Et nos amours fougueux, au clair de lune le soir,
L'aube magnifiée de l'amour, comme un peuple de colombes.
J'ai vu quelquefois l'amour, qu'un homme a cru apercevoi
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bernard 138
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