Ainsi donc pratiquait Clymène la charmante Et n’ayant pas pu faire une comparaison Elle laissait son mari de façon peu grisante Dire que son confesseur avait toujours raison.
Au sortir de la messe elle rencontra Ormin Qui d’un sourire exquis lui fit l’âme rêveuse Il osa lui parler, fit un bout de chemin, Disant qu’il connaissait la tendresse amoureuse
Selon mon confesseur Ormin tout m’est permis J’ouvre mon territoire à votre gourmandise Seul le nid naturel appartient au mari Partout hors de ce lieu je vous serai soumise.
---------------- la souffrance nous isole ; n'est-ce pas la pourtant le seul vrais partage en ce monde et n'est elle pas le terreau des plus belle roses P.Roussel