Plume d'argent Inscrit le: 23/7/2011 De: Envois: 230 |
"J'irais "(epilogue d'excalibur du desir) dédié à Gaia J’irais enfoncé la lame d’Excalibur, Dans cet enclume si pure,
J’irais au gallot des caresses,corps et cheval liés, Sur le cheval de notre histoire,tel un preux chevalier, Te délibérer de ce donjon d’isolement qui te sert d’allier, J’irais faire du rodéo sur tes plaines,pour t’affilier, Te lancer le lasso de notre attractivité,cœur et poings liés, J’irais combattre au glaive charnel de d’autres templiers, Pour que le temple du soleil et celui de l’amour ,soit deux temples liés. J’irais poser l’ancre blanche dans cet océan pour tôlier, Tel un conquistador des femmes,naviguant sur tes sentiments ,mon voilier.
A mon retour des croisades pitoyables, Tu m’ouvriras le cezam de la vie sherazad,c’est palpable, Pour toi, j’irais traversais les tempêtes polémiques les tempêtes de sables, J’irais par ma paille te faire goûter ,ce que j’ai rapporter mon sirop d’érable, même si mon intronisation, sur le trône de l’amour est instable, Je te couvrirais de vers,de laines,de vers de vers de laine,de fable J’irais me blottir contre tes reins,beaux comme des continents inimaginables, Remettre en selle le cheval de notre romance le sortir de ses souvenirs étable, La fontaine de plaisir et des troubadours coulera a flot ,ce sera agréable, Beau de l’air de mes symphonie d’amour et de quête au graal insaisissable J’irais traverser pour toi,es maquis,les volcans fournaise du diable,si désirables es marécages ,les chemins boueux,, les terres volcaniques ou je te replanterais rose des sable
J’irais dresser tel le fauconnier salvateur, Un faucon pour qu’il tiennent en son bec tel un pigeon voyageur, Un message d’amour libérateur Le faire parvenir par ailleurs jusqu’au donjon,creux des mains de cœur. J’irais combattre avec l’arme mûre qu’est mon courage de gladiateur, Les pieuvres de ta mélancolies ses tentacules de ton chagrin annonciateur, Sans l’armure sous mon glaive sauf celle de l’armure de ma sensibilité d’ailleurs, J’irais traversais ce pont levis qui mène au château des péchés libérateurs….
J’irais te délibérer du donjon de mes fantasmes, J’irais extraire le cœur de dragon de tes nuits en pleine crise d’asthme, même sous ce sarcasmes,sous ces fous rires ,ses sarcasmes…
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