Les trois compères,
Leur visage, connus et reconnus par les enfants,
Ne sont jamais oubliés par les plus grands,
Raison de sortie familiale pour les voir,
Et s’offrir, sans doute, des moments d’espoir.
Le plus souvent ils sont trois compères,
Ils controversent, dans l’humour, pour amuser,
Dans des situations, simples et pamphlétaires,
A faire rire et pleurer, sans oublier de poétiser.
Le plus austère, sérieux et bien d’aplomb,
Est celui que l’on nomme le clown blanc,
Avec son chapeau de pierrot, il est gérant,
Déstabilisé, souvent, par le deuxième larron.
Ce deuxième larron, l’impertinent, c’est l’auguste,
Mine grimés de noir et blanc le nez rouge et rond,
Il émerveille les petits, qui savent qu’il est juste,
Car en réalité, comme eux il est coquin au fond.
Le troisième, complice , est le contre-pitre,
Il ne fait que des gaffes, mais joue aussi l’arbitre,
Mais ces initiatives, se terminent en catastrophes,
Ce qui relance les rires et nous apostrophe.
Ces trois amis, dans leurs différents costumes,
Ne sont plus sédentaires, ils viennent saluer,
Leur public préféré, qui sont dans la difficulté,
Pour le plaisir, le rire et défaire l’amertume.
Antoine
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Quand la "Tolérance" est de mise, l'intelligence devient
intuition ou sensation sans relativité.
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Antoine
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