Le nomade des forêts

Parcourant les plaines
Tu as tant de peine
Pour oublier ta reine

Pauvre cœur bavé
Qui malgré sa mollesse
Fut profondément touché

Pourtant tu portes, impuissant
Une petite et ronde maison
Qui s’embellit avec le temps

Tu espérais sans raison
Avoir un autre habitant
Mais il en fût autrement

Ton corps si humide
Est l'accumulation
De tes larmes fluides

Noyant les pulsions
Provoquées par ton âme
Dont on a éteint la flamme

M.D

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Le triomphe de l'autosatisfaction.
Le sens des mots anesthésié par l'usage ordinaire que l'on en fait.
La perte du sens est la triste soeur de la vacuité.
Assassins de la poésie.

Elupia Byhr

Pauvre petit escargot voué à la solitude.
HONORE

Une petite histoire triste...
écrite avec de jolis mots tendres et touchants...



Capucine

Un portrait plein de sensibilité.

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Merci du soutien

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Le triomphe de l'autosatisfaction.
Le sens des mots anesthésié par l'usage ordinaire que l'on en fait.
La perte du sens est la triste soeur de la vacuité.
Assassins de la poésie.

Elupia Byhr

j'avoue qu'il ne me viendrai pas de faire la rime à l'escargot ........peut-être devrais-je !
car ton poème est beau

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]