Transbahuté sur des chars déplaisants
Vers un monde entièrement d'agonie,
En rage, tu l'as supprimé la vie,
L'être qui jadis, t'a été charmant.

Maintenant,elle se plie sous tes yeux,
Elle abandonne, et son temps n'est plus là;
Ses yeux se ferment,et puis, c'est comme ça,
A l'existance, elle fait ses Adieux...

Pourquoi dois-tu tuer une personne
Parce qu'elle ne veut plus t'accepter?
Elle a dix milles fois déjà, comblée
Ton coeur de joie ! Et pourquoi cette haine?

Pourquoi dois-tu commettre un si grand crime
Parce que son coeur ne veut plus t'aimer?
Ainsi qu'un démon tu l'as pourchassé.
En toi et de tout, la rancune prime.

Tout coeur est libre à nommer son vainqueur
Et la force n'a pas du tout sa place.
En tout, sois gentil pour faire face;
On ne le gagne que par la douceur.

Souviens-toi bien de ses anciens baisés;
De son drap corporel, sans autre choix,
Elle t'a couvert pour de vrai au temps froid.
Pourquoi maintenant tu l'as humiliés?

Si tu l'avais vraiment aimé un jour
De mieux, il fallait la laisser s'enfuir,
Même si ce dont tu rêvais de construire
S'est égaré dans tous les carrefours.

Splendide beauté, elle est plus que ça.
Mais,regardes là, suppliant les mouches
Qui par ta faute l'ont rempli la bouche,
Elle qui passe de vie au trépas.

Ton poème est bien écrit, mais le fond me dérange un peu... Je ne trouve aucune excuse à "l'homme" (que je n'ose presque plus nommer ainsi) qui tue son ancienne compagne qui l'a quitté ou son ancienne promise qui n'a pas voulu de lui...
Ce sont des attitudes barbares que je ne puis cautionner.

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Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.

cher Artisan, c'est un poème que je n'ai pas très bien compris. mais c'est normal, c'est ton 16è poème que tu postes sur Oasis : il faut bien que tu débutes. cela dit ne te décourage pas. ce que je te conseille c'est d'aller d'avantage à l'essentiel et surtout d'éviter de te perdre dans des passages qui risquent d'alourdir ton texte. la simplicité d'abord, ensuite les métaphores, les images, les jeux de mots et autres facéties poétiques, après.
mais surtout ne te décourage pas car tu es sur la bonne voie.

ultime

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".