Ouargla le 19/112011

L’impitoyable

Crache ton venin
J’avale bien le mien
Sans drogue, sans vin
Je ne dis pas, revient.

Coure, rejoint tes amis
J’hume ma solitude
Un jour n’est pas une vie
A chacun ses habitudes.

Dénie, accuse, j’écoute
Renie, récuse, je vois
Aujourd’hui plus de doute
Dans l’oubli, l’unique loi.

Les mots ont un sens
Virgules et point aussi
En retard ou en avance
Aux graves tuiles, merci.

Bonne chance, femme
Sans revenir sur mes pas
Au camé sa folle came
A chaque lueur son éclat.

Bonne chance femme
Regarde où tu mets les pas
Sous la fumée la flamme
Le sable est au Sahara.

Ps. Ces quelques vers sont inspirés d’une discussion avec une dame que je ne peux que respecter et à laquelle je souhaite une honorable et longue vie

Merci mon frère pour ce très beua partage exquis !
fraternellement farid

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

Bien écrit avec une chute solide qui pousse à la réflexion

bonne nuit

HistrioN

Bel écrit. J'ai particulièrement aimé Citation :

Merci pour ce partage

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Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.

bonjour
merci pour votre passage et vos coms et croyez moi vous ne pouvez savoir combien je voudrai m'etaler dans ma réponse... La logique veut qu'un poeme doit etre laisser au lecteur de le décortiqué comme il veut et coe il peut... seulement le poete se de laisser quelques passages ouvert pour permettre aux lecteurs de s'aventurer dans la recherche du vrai sujet lequel parfois il se cache derrirère un nom ou pronom fémini et souvent sous les différents noms tel le coleil, la mer, la terre et encore et encore...+encore une fois erci
fraternelleent mouloudi

Bravo Mouloudi!
JP.

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Vivre ses rêves

bonjour
merci pour votre passage...
fraternellement mouloudi

Joli poème Mouloudi. IRIS

bonsoir
merci iris pour votre passage et votre com
fraternellement mouloudi