J ai conçu cet accrostiche en l honneur d Ethiel, cette poetesse de talent que nous avons tous lus, pas toujours commentés car quoi faire face à la béatitude quand elle se fait violence et nous coupe les plumes?
Or dans le commentaire d un poeme de la non moins talentueuse Eveidem, Ethiel parle de prendre congé d éternité en poésie ; je ne veux pas devenir orphelin des mots et des belles emotions...
S il te plaît, Ethiel, ne baillonne pas ta belle lumière !
E nneigés en des cîmes au gré des métaphores
T es vents que de la rose au son de tes trompettes
H uiles caustiques de tes vers puisées à tes amphores
I lluminent de festins mes travées de disettes
E n boue dans tes chemins, en pluie dans tes Ethers
L es anges même s ils sont sombres, diffusent la lumière
Anamorphose
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Je suis un cartésien désabusé : Je pense, donc je suis mais.... je m'en fous
La solitude aspire dès lors où nous aspirons à être solitaires
