Il en est, des monts et des vents,
Qui entraînent les corps dans le néant.
Il en est, des pics et des torrents,
Qui élèvent l'esprit au firmament...
Alors doucement, les corps éparses voguent.
La tête en bas, noyée dans les flots,
N'est guère dans les gogues,
En ce jour funeste où résonnent les sanglots.
Mais point la terre ne s'est tue,
Et de son effroyable rugissement,
Elle les a abattus,
Dans un long larmoiement.
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"Il en est des paroles comme le vent qui se lève.
Mieux vaut souffler des mensonges que d'affronter la tempête."