Au firmament des astres, l'écorce d'un noble silence
Etendue vaste dans les bras de la nuit
Et le chant du vent dissipe sa lourde cadence
Loin des portes du temps, sans le moindre bruit

L'azur entrouve son doux regard vers le soleil
Et un reflet sur la mer envahit les pensées
L'heure dévoile sa belle couleur vermeille
Pour les songes qui ne réclament que le lever

Il suffit d'une particule dans l'oasis du ciel
Pour l'horizon, étendre sa large couverture
Et offrir à l'humaine vision, le bel éternel
Que la Terre ancre en infini fioriture

Et à l'encontre des plaines, si majestueuses
Que l'oubli crépusculaire, étouffe en doux secret
De la ronde lune, cachottière et rêveuse
Qui ne nourrit que les flancs délaissés

A la source de l'astre magistral, où la vie se nourrit
J'ai puise ce poème à l'encre de mon coeur
En obole de rêves habités pour tous nos amis
Qui peuplent en apanage l'univers de splendeur

C'est gentil, merci et bravo Fabienne pour ce superbe envol d'amitié poétique!
Bises de JP.

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Vivre ses rêves

ton poème me fait penser qu'un poème peut être une étoile, elle brille discrètement et sa lumière peut nous guider, merci pour ce délicieux partage,

yann

superbe envol de mots !!!

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Joli écrit. IRIS

merci a vous pour avoir apprecie

Bel dédicace.

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MB CANDIDE