Pour une fois je vais publié 2 poèmes dans la même semaine (pour changer). Voici donc un poème toujours aussi noir (sinon je ne serait Obscura voyons) intitulé Ô splendide néant :
J'ai de joie à vous voir, Ô splendide néant
Sous la fausse clarté d'un royaume béant,
De si charmantes peines aux étreintes glacées,
Dont le froid ténébreux ne fit que me lasser.
Où est donc ce soleil qui éternellement luit?
Laissant place à l'aigreur tombante de la pluie:
Ces fines gouttelettes écoulant sur mes joues
L'aimable tyrannie où mon coeur vit le joug.
Il est de ces sinistres colorant le ciel,
Où le bleu des azurs ne sont que noire fiels.
Quel est donc l'étrange et vide environnement?
Obscurci de tristesse et de vils ornements.
Ô splendide néant voile de ta nuée,
Mes yeux dont le chagrin ne saurait diminué.
Bon maintenant vos avis
(ça par contre sa change pas
)