Plume d'argent Inscrit le: 23/7/2011 De: Envois: 230 |
"l'or rage" Tout devient gris,la dépression guette sous les nuages du chagrins Ce ne sera bientôt cette haleine de lavande remontant de sa bouche, Ni ce jet d’herbes de Provence,qui rafraîchit votre langue d’une bonne douche, Ni ces gouttelettes coulant du cuir chevelu ou fleurissent ces cheveux de pailles dorés Qui vous rappelle la rosé le matin tombant sur les champs cuivrés par la couleur du blé Ni les pétales qui relie le stigmate des ses yeux candides de leur beauté, ce ne sera plus les caresses de ses cheveux le long du dos désormais orphelin qui vous rappelle celle de la pailles qu’on aime faire glisser sur le bas des reins bientôt s’abattra cette pluie de postillons -grelots ,sous la froideur de sa voix -grêle qui feront déchirer ce cordon sentimentale qui lui maintenait par leurs pinces de chair et avant qu ils ne s’envolent par ce vent de révolte meurtrière la robe de mariage ,le costume et son nœud d’effet papillon , la pendaison de crémaillères C’’est Elle qui fait tourner l’hélice rouge de ce moulin à paroles sanguinaire, Ne cessant de moudre chaque syllabe de ces maux,chaque grains de rengaine , Et le meunier spasmophile de sa tête ne peut s’empêcher de faire tourner sa manivelle meurtrière ne peut s’empêcher de déteindre sur sa face désormais poudrière toute cette farine responsable de la blancheur de sa peau qui monte qui émergent de ses frontières il aurait voulu éviter toutes « cette tuiles, »qui tombe quand il a la tête en l’air ! éparpillées par le souffle glaciale qui sort de sa bouche éolienne- nucléaire mais elle arrache « les lustres, » frappe brusquement les porte de son passage éclair elle fait du porte à porte,sous son grondement assourdissant sous les éclats de vers Elle brise les carreaux puis une nouvelle fois on entend des éclat de vers Elle emporte avec lui ses valises sous ses yeux,d’un ouragan de colère ses couettes,ses soutient gorges,les maillots de bain, et même les strings panthère ! Mais elle laisse sur place sur ce champs de bataille,les tombes profanées ,ce cimetière les gros pull- ovaire,les doudounes les voile sur la face ,les roues de paon les je t’aime d’hier
Pourtant le coup de foudre s’était abattus cinq années en arrières Mais il n’ a pas frappé deux fois au même endroit Si bien qu’il est responsable de ses lustres linéaires déraciné du plafond temporel verni de leur amour désormais sans lumière
Désormais sans quartiers de lune ,c’est l’obscurité tout entières , On maudit toujours autant le passage de la rancune- sableuse , Qui décolle du goudron que sont nos papilles ,ces paves de langues auparavant mielleuses Avec ses jets de paroles salées amères. On se demande pourquoi l’orage n’a pas déraciné ces poteaux électrique que nous sommes laissant passé les courant de tensions,les ondes de colère !
On se demande pourquoi il ne reste plus que ce nettoyage morale a faire pour ramasser Toutes ces pensées déchirées par ce vent de révolte et leurs stigmates éparpillés Qu’il faut balayé des compartiments de votre mémoire infectée On se demande pourquoi il ne reste plus que : Cet homme -éponge ayant trop absorbé le rouge sang des tuiles d’avant hier Cet homme -éponge ayant trop était déchiré par ses éclats de vers fébrile Trop longtemps rongé par l’eau de javel des confidences dérisoires ,inutiles Qui n’arrive plus a faire retrouvé à cette pièce en argent son immaculation extraordinaire Qui n’ arrive plus à rassembler les charpentes d’un amour amianté qui fuit Laissant s’échapper ce torrent de larmes -grêlons , inondant la chaumière Qui n’arrive plus a recoller ses yeux face à face désormais gouttières , Qui goutte,qui goutte… inondant cette pièce d’un bain d’idées mortuaire
On se demande pourquoi Ce n’est plus qu’une mauvaises haleine de cendres nauséabondes que n’a pas pu consommé le sommeil Mais bel et bien un terrain de boue en friche la mauvaise herbe , Ou le stigmate déposé par ce vent de révolte ,a fané les pétales de vos pensées . On se demande pourquoi,il ne reste plus qu’un terrain d’amour en friche, Ou mes cheveux de pailles ont été arraché par cette moissonneuse batteuse , que sont ses mains ,qui ne récolte que les germes de la haine et du chagrin On se demande pourquoi il ne reste plus que la douche froide les cheveux dur comme la pailles , la paille ,et le rosé du matin.
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