Ces deux yeux bruns,deux flambeaux de ma vie
Et son regard répandant leur clarté.
Ont rendu esclave ma jeune liberté,
Pour la damner d’un amour,asservie
Par ces yeux bruns ma raison en fut ravie,
Et quelque part où l'amour m'ait arrêté,
Que pour voir ailleurs une autre beauté.
Tant mes vers seuls chantèrent mon ennui.
D'un autre espoir où notre amour ne parut point;
D'Autres pensées en moi brûlèrent à ce point
D'un autre feu où ma muse s'enflamme:
Ma main ne sait cultiver que son nom.
Et mon papier ne s'émaille pas,sinon
De sa beauté que je sens au-dedans de son âme
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bernard 138
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