Oui, bien souvent les violons perdent leurs cordes avec le temps qui passe.... dommage la musique des mots est une partition que nous apprécions toutes...

Ton archet a su garder la sensibilité d'un stradivarius...
Pampille

Ces violons n'existent d'ailleurs pas, il faut écouter profondément leurs notes pour connaître l'humilité de leurs mots, la liberté de leurs souffles et ce que l'on oublie souvent : le temps qu'il faut pour les apprivoiser sans jamais rien lâcher.

Au bout c'est l'équilibre, la sérénité, la liberté, le jeu des doigts et des mains, le regards comptent autant, voir plus que leurs traductions idiomatiques...

S'attacher c'est d'abord être libre, une partition n'est aucunement liée à l'instrument et pourtant elle n'existe pas sans lui.

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Oubli, vaincre l'addiction.

bonjour Eve

Quoi de plus Naturel en somme

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J'aime beaucoup ! Que du vrai...

beaucoup de beauté dans le fond et la forme, j'ai adoré et c'est vrai que les regards peuvent être plus sincères que les mots, l'inexprimable exprimé, bravo,

yann

Marre des violons mais on rêve toujours d'en trouver un vrai, pour écrire une symphonie à deux





e_j

Bonjour Eveidem,
J'ai bien aimé ce texte...C'est vrai qu'il y a des moments où les paroles deviennent superflues... Très beau poème
Amitié,
Christophe

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Très joliment formulé mon Eve...

A une époque j'avais un violon comme avatar, ailleurs, on me surnommait le violon...mais le violon, ça viole...alors je l'ai cassé, et puis abandonné.



Je t'envoie ces quelques notes, sans violon aucun.

Bises à toi.

http://www.youtube.com/watch?v=LUVt6MqrWgk

hoooo j'ai adoré!! surtout la dernière strophe; on dirait... moi! non?

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Bonjour Eve


Cri d´une VIRTUOSE que j´ai entendu...





GRANDIOSE!...


MERCI et


Baiser papillon


laurence

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http://revesdegaletsausouffleduvent.blogspot.com/

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

des mots que je partage il y en a qui vous joue du violon mais la partition est fausse

Non je ne sais pas.

Bref passons ... j'ai écrit un poème qui se terminait ainsi : tu es violon-celle.
et le titre : viol(a)in love - Cesario

bref passons. On s'en fout de ce que j'ai pu écrire finalement.

Mais tu sais, ce que je sais, c'est que tes deux derniers vers sont beaux, tellement beaux, que je n'ai plus de mots.

je déteste la liberté, celle qui libère de l'autre.
j'adore le silence bruyant
je suis habile et malhabile, tout dépend des circonstances
je suis demi-écrémée
je suis Moi, là j'en suis sûre
pour le reste, je n'en suis sûre qu'à moitié, qu'à demi quoi.

et j'aime bien ta colère.

tes "j'en veux plus" !!

il manque juste un "mon ange" et ce serait parfait, enfin presque.
La perfection m'ennuie.

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[La nuit des rois, les femmes seront reines]

http://leaviola.blogspot.com/

"Nous sommes corps à corps nous sommes terre à terre
Nous naissons de partout nous sommes sans limites" PE

Bonsoir Eveidem,

J'ai beaucoup aimé ton joli poème car comme à ton habitude, il fleure si bon les mots justes, les mots vrais sans en rajouter.
Plus de violon, mais toujours dans la bonne mesure pour de belles symphonies de mots touchants.

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J'adore, tout simplement.

Sandrine

magnifique !
et comme tu as raison de ne plus vouloir de tout cela...
et ne vouloir que lui....
comme il est...
je suis ravie pour toi

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Calou