A ta mère
Regarde cette femme, là au bord de la mer
Qui sut m’ouvrir son âme et devenir ta mère
Elle était belle quand sa peau de satin blanc
Rosissait au soleil quand elle avait vingt ans
Et plus que la fortune ou la notoriété
Le temps n’a pas de prise sur ma vénus beauté
C’est à la fois la lune, l’objet de mes tourments
Elle est toujours superbe ostentatoirement
Dans tout mon entourag’ personne ne veut croire
Qu’elle est entière à moi, pour un temps probatoire
Puisque rien n’est jamais acquis dans notre monde
Quand le présent s’égraine seconde par seconde
Regarde cette femme qui nous ouvre son cœur
Nous donne tant d’amour pour faire notre bonheur
Sans jamais un regret, sans jamais une plainte
Regarde cette femme, mon fils c’est une sainte
ALTOFE
----------------
Rechercher pour être libre
Le juste point d'équilibre