Cris d'Ados,
Dans l'attente d'une phrase ou un mot,
Comment se comporter, sans être accros,
A l'espoir, l'hésitation devant les idéaux ?
Nourris par l'absence d'apports parentaux.
Nous, les intermédiaires, les ados,
Pas assez clairs, ou venus trop tôt,
Dans une vie de gêne, ou d'eldorado,
Comme des méduses sur un radeau !
Accessibles, ou pas, sont les parents,
Quand bon leur semble, puisque régents,
D'une existence, dont ils sont friands,
Pour ravauder leurs disettes de sentiments,
Dans leur passé d’enfants.
Difficile d'aborder le sujet des câlins,
C'est comme Abel et Caïn,
Chacun pour soi et Dieu pour tous.
Plus d'histoires, ou de chants lambins,
Comme dans l'enfance, sous la housse.
Notre place est déterminée, calculée,
Avec ou sans cette, judiciaire, majorité.
Nous devenons les obligés de la société,
De parents influencés, par éducation,
Par amour, par volonté de protection,
Et n’assument pas, notre ferme détermination,
A vouloir, de leur consortium, nous détacher.
Antoine
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Quand la "Tolérance" est de mise, l'intelligence devient
intuition ou sensation sans relativité.
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Antoine
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