Entre deux fous, je me fais fou, au pré du goût ...
Et mon tout sans cou cherche ses yeux dans les yeux
Du vieux tueur, venu de loin en faire des feus
Au cœur ombré du feu lui consumant son cou.

Je sais où il cache le cercueil du boubou
Sustentant tous les enfants murissant aux cieux
Qui ne pleuraient ni les morts vivants ni les gueux
Mais bien fou, vous me voyez pour vous en dire tout ...

Je n'ai qu'à trimballer mon corps sans son âme
Vers les rougeurs qui hantent la nouvelle flamme
De l'amour fou du fou ronronnant en ton cœur ;

Je n'ai qu'à inhumer ce corps loin des sanglots
Des lèvres me les rappelant de quelques mots...
Et avant d'en faire un autre fou bien rieur.


Panpan 05/03/2003

Non je n'ai pas trouvé que vous vous Zozotiez. Amitiés. Iris

Ne serait-ce point une folie d'Amour? Je ne comprend pas tout... Mais y'a comme un p'tit goût de rancoeur...


En tous cas un mystère!!!! Je vais relire.....

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Le vacarme ne dure jamais, tel n'est pas le cas du regret

cher panpan, si tu aimes bien zozoter, eh bien ! Zozote !!!

ultime

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".