Sur le sable humide…
Ses pas laissent des traces
Devant la mer qui va et vient
Comme un tapis volant
L’homme hagard
Trace son chemin vers l’inconnu
Les yeux fixent le rêve interne
Tandis que l’univers baigne dans le mouvement
L’homme perdu
Cherche un chemin vers la berge pacifique
Sur le sable doré
Les pieds laissent des souvenirs
Les vagues vont et reviennent
Le corps lourd qui mène l’âme vers l’issue
Sur le sable humide
L’homme hagard avance d’un pas rapide
Et le fond presque placide
Alors que le ciel est étoilé …
Le fond est voilé
Le regard interloqué
Fixe l’étincelle d’une vie achevée
Le corps alourdi par les faix d’un passé chimérique
Renfermant des impulsions de l’avenir ….
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