Cymbales de mai
Ceridwen lache ses hydres,
Les flots gamètes s'épandent
Et l'azur ondin s'obscurcit...

Dressées, troncs d'ivoire
Sur ses deux pattes tremblantes
L'homo sapiens aux yeux crevés
Fouille de ses tentacules
la tourbe génitrice...

Illusions, faims innassouvies
Les chimères vertes ne peuvent nourrir
la suressence virginale des âmes....

Frustration

Déception

La haine orchestre...


La plus belle harmonie dévastatrice,
Egrégore des bipèdes
Ivres de sons et de cacophonies...

L'épuration naturelle de la vie
Continuera son cours...

L'amas des gains,
Le crépis sur les façades...

N'a jamais empêché les murs de se fissurer

Alors je crie !!!

Construisons une autre demeure....

L'on pourrait aussi réparer celle-ci en attendant...

Hors du commun, il y a une force étrange dans ce texte qui sort surement du plus profond de ton âme, j'aime l'originalité de ta poésie qui te démarque et te rend unique, merci pour ce partage troublant et beau, avec toute mon amitié, Simon...

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

"Alors je crie", alors j'écris ... de la force dans ce poème, de la conviction ...

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[La nuit des rois, les femmes seront reines]

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"Nous sommes corps à corps nous sommes terre à terre
Nous naissons de partout nous sommes sans limites" PE

Merci à tous les quatres de votre attention et de vos commentaires

Bonjour bamcar

Il est vrai que nous vivons un monde, ou le chacun pour soi
est la première regle,le^partage connais pas,
dans certaine maison c'est la grande bouffe,
on se fou du vieux (ou jeune de plus en plus)
qui crêve sur ton pallaisson.
Bravo

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Merci à toi Angiee...