La vie, ça dérive et ça passe;
comme sur une mer, sans prises,
on a du mal à faire surface,
mais on l'aime quand elle nous grise.
Dans cette vie qui s'efface,
à tout jamais tu a gravée
en moi, bien plus qu'une trace,
impossible à supprimer.
Tu sais, je ferais tout pour toi,
en temps de paix ou de combat;
ange échu d'un au-delÃ
en toi, c'est sûr, j'aurai la foi.
Laisse moi écouter ta voix,
m'abandonner dans tes sourires,
sens-tu ce coeur qui bat pour toi,
je suis venu pour te l'offrir.
Ma divinité adorée,
mon symbole de pureté,
mon petit être, ma beauté,
laissons donc nos corps s'enflammer.
Christophe L.R Mai
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