Plume d'argent Inscrit le: 23/7/2011 De: Envois: 230 |
"les montagnes russes" Regardes cette montagnes russes, Cette montagne de faire et de ferraille, Cette montagne de glace, cette montagne d’étapes ma puce Iceberg algorithmique qui coulent parfois dans la peur glacial nos entrailles,
Regardes ces passages de tensions artérielles en alternance continue, Qui oscille sur cet oscilloscope naturelle , Entre les hauteurs vertigineuses,mettant à nue, Les zénith de ta vie parfois en rondelle, et ces bouffée d’asthme que te procure ces descente culminante vers le bas, Pardonne moi du pléonasme ! ces descente t’empêchant de toucher la toile céleste du bout des doigts, Quand le wagon de ton destin souffre d’une active inertie et s’ enraille, Quand tu ne peux plus gravir l’échelle sociale que dessinent ces rails
on est parfois sur la mauvaise pente, Pardonne moi du pléonasme ,on descend la descente, Plus dans le recul, le wagon avance et plus nos cœurs se balance contre les remparts du silence plus on a la nausée ,plus on est estomaquer, on a les mains moite plus on approche le ciel d’azur,le plafond des salaire, plus nos pics d’espoirs miroite plus on descend ,plus on se serre la ceinture budgétaire, plus les anges démoniaques, nous hante,
écoute ces rires et ces pleurs, ces gens qui pleurent de rires, qui ont le cœur aussi chaud et illuminé qu’ une bougie de cire, quand ils montent vers le haut,paroxysme de leur désirs
écoute ces gens qui rient de pleurs, dont leur cœur , bougie de cire a fondue ,s’est éteinte de ses propres sueurs parce que l’ âme refroidit tyrolienne de l’avenir, n’arrive plus à gravir sous la corde raide ;le paroxysme de leur désirs
, c’est celui qui est aux manettes qui dirige tout, spectre divinatoire qui vérifie contrôle dévie les trajectoire, mais qui n’ entends jamais dans sa cabine insonorisé, ceux qui braille sache alors que ta descente aux enfers peut être furtive, car ce n’est pas nous qui guidons les rails, ne tire donc jamais de conclusions hâtives car cette algorithme de ta vie souvent glaciale ne connaît parfois que de failles parmi les pics du desepoir, , ne connaît que des asphyxie mentale
serre fort,les mains qui te tiennent, quand ta vie prend un mauvais virage quand on cœur devient un volcan de peines, prêt à exploser a déverser maux d’amour et de haines, parfois tu as un accélérateur d’émotions, un tremplin de convictions, pense à ces flash de ma mémoire qui me revient quand je traverse dette forte humaine comme les lumières d’un stroboscope,
regarde cet homme,à la barbe blanche te proposer ces coeurs -cerf volant ces cœurs –ballons gonflé d’hélium, qu’il tient de sa mains divine, c’est lui ou non qui décide , de les laisser s’envoler jusqu’au frontière de ton cœur, qui décide oui ou non de les percé si tu n’es pas à la hauteur, de couper la ficelle si tu exagéré ton influence sous les cyclone de douleur
Regarde cette grande roue,quand tu traverse cette forêt humaine Cette roue du hasard prévisible, cette roue de la chance,souvent voilée Hasard mécanique,qui déroule sous cet engrenage de la haine, les bandes magnétiques de nos vies cryptées
Regarde ces bandes magnétiques humaines, Qui déroulent par ce mécanisme naturelle, Entre les engrenage de haine, Et les avancée en arrières perpétuelles,
On est parfois au plus haut panorama,de nos horizon professionnelle Plus l’ascenseur social monte, Et plus nos cœurs se dilate sous les parois de la chance Moins on a le sourire,moins nos privilèges nous font honte, plus on approche le ciel d’azur,le plafond des salaires, plus nos pics d’espoirs miroite plus on monte ,plus on relâche la ceinture budgétaire plus les démons angéliques nous hante.
Ecoute ces rires et ces pleurs, ces gens qui pleurent de rires, Qui ont le cœur aussi froid qu’un iceberg, Quand ils montent vers le haut, le panorama de leur désirs.
écoute ces gens qui rient de pleurs, dont leur cœur , iceberg a fondue ,s’est éteinte de ses propres sueurs parce que l’ âme refroidit ascenseur de leur avenir, n’arrive plus à gravir sous les engrenage de la haine ;le panorama de leur désirs
c’est celui qui est aux manettes qui dirige tout, spectre divinatoire qui rend le hasard, prévisible quand il se lassent des mêmes scénario des mêmes histoires change les bandes magnétiques,rend les vies en négatifs, teinté de noirs, dans sa cabine aux vitres teintés qui ne change jamais les roulements contextuels de cette roue souvent voilé
regarde ces manéges d’enfants, ces enfants manége distraction pour parents, presser de monter dans les fusées hiérarchiques, qui se trouve sur le plateau circulaire que leur offre la vie en constance mouvement presser de monter dans les jaguars et les aigles métalliques sans racines mais avec des ailes, presser de monter le zénith hiérarchique, et attraper le pompon archétype de l’ambition et de la réussite
mais ce n’est pas nous qui décidons l’instant, c’est celui dans sa cabine insonorisée qui décide quand il envoie le compte à rebours , pour faire avancer ,reculer le plateau circulaire de la vie pour faire décoller ces fusées hiérarchiques, jusqu’au zénith professionnelles pour faire avancer les jaguars métallique sur les autoroutes
regarde ce stand de loterie, sois toujours attentif devant l’homme qui te propose de tirer la ficelle devant l’homme qui tire les ficelles tu ne sais jamais sur quoi tu peux tomber, des véritable amis ,une famille soudé, un joli travail, ou bien une jolie demoiselle une santé pitoyable,des tristesse hirondelle
Ecoute cette orgue de barbarie, Cette voie de la vie préréglé comme du papier à musique, Ecoute ces refrains de protestation, ce rengaines interminable de révolution c’est comme des montagnes russes mélodiques,
écoute ces cris de joies et de peines, et ça recommence une nouvelle fois, nous chantons en chœur, nous sommes instrumentalisés et ça recommence une nouvelle fois, nous chantons en cœur sous des airs mélancolique,
regarde cette homme barbue qui tourne la manivelle universelle qui décide quand il,change le papier à musique, c’et lui l’orchestre de la vie,
regarde ces gens,auto-tamponante, pense qu’ à leur pare-choc fiscale, qui ne se regarde pas,qui ne se serrent pas la main, qui ne s’entendent pas, qui s’abattent sur toi, tel un cyclone humain, pour gravir l’échelle sociale, le pic de bonheur les montagnes russes, pour arriver à leurs objectifs, pour freiner la roue aux meilleurs panorama,
Alors oui comprend –tu, Mon enfant qui n’existe que dans mon cœur et habite mon esprit, Toi qui aurait mon plus cadeau à Émilie, J’ai décider de me jeter des montagnes russes, L’amour m’a poussé dans le dos M’a jeté sans lui alors qu’il se disait mon amie Du pic de ma tristesse Sans parachute ni parapente émotionnelle Pris de panique Je me suis jeté du vide,pris du vertige de la vie, J’ai freiner la roue du destin J’ai fait un salto arrière Pris de panique Couper les ficelle de celui qui me dirige comme un pantin, C’est dramatique, Déchirer le papier à musique, Me lassant trop des aires de tristesse et de mélancolique, J’ ai trop attendu du que tourne enfin le plateau circulaire de ma vie, Car j’ai trop attendu que décollent la fusée hiérarchique personne n’a répondu c’est tragique, me donner les bons numéros de loteries, pour changer les roulements contextuelles pour me donner des pics pour monter les montagnes russes ,des skis pour descendre moins rapidement ma puce slalomer les embûches des chaînes de neige sur cette roue de la chance qui souvent patine, sur les montagnes russes divines,
notre amour a été comme des montagnes russes, avec ses haut et ses bas guide par les rails de l’indécision la vie est comm des montagnes russes, quaund on est au plus bas on ne peut que remonter
a vie est un jeu,d’échiquier humain, ou tu avance tel un pion ,les cases du destins qui s’amuse de toi, pardonne moi du pléonasme…
Pourquoi fait preuve de dogmatisme ? Est-ce un crime de semer le doute Quand cette roue patine dans le séisme, Est-ce blasphématoire de ne plus croire en une entité divine, D’être persuadé faute de ne pas voir à travers cette cabine Que l’homme l’a conçu l’ a implanté Pour excuser ses combines devant Chaque montagne russes a vitré de vitre teintés , a insonorisé De croire que les montagnes russes la roue de la chance, Le stand de loterie Fruit de sa propre imagination et de son édification, Sont en pilotage automatique,
Est-ce lui ,l’entité divine économique ou le pilotage automatique, Qui fait crier les gens de douleur Quand la roue de certains patine dans le malheur Quand la roue de certains patine Dans les creux boueux du au séisme économique Que sème l’épicentre des guerre ethnique, Qui fige leur regard devant le pire panorama apocalyptique
Quand la roue les fait monter ,parmi les crampons de la galère Parmi les chemins boueux auquel ils adhèrent,
On rêve tous de freiner la roue aux meilleur panorama, Après avoir monter ,monter ; Pour s’éloigner des situations caniveaux, Des crépis du silence Des cœurs cheminées,des politique chapiteau éviter les tuiles que projettent les toits de la misère, des soutien humanitaires- paratonnerre
on rêve tous de sa stagnation, pour voir mieux grimper les entreprise montgolfière, traverser les nuages de la mondialisation, pour mieux assister au décollement de la fusée hiérarchique de ses enfants pour admirer les grandes ailes de la chance qui font s’envoler dans le ciel de nos aspiration, joliment, ses joies hirondelles
pour mieux apprécier les grues politiques, avec leur bulldozers législatifs briser le mortier de notre projet utopiques monter par le ciment de leur égoïsme, les gratte-ciel du capitalisme,
pour mieux voir s’envoler les coeurs ballons gonflé à l’hélium, monter jusqu’au paradis financier les ouvriers cerf volant, sous les cyclone de douleur s’envoler dans le ciel gris car on leur a brisé le fil de la vie
admirer les phares journalistique fait jaillir sous les rafales de flash tel des stroboscopes féerique, faire de l’opinion publique un spot, balancer de la roue de la chance, du haut de ce panorama idyllique ces billets sur ce monde de fourmi tel une pluie de confites
Pour ne jamais descendre Et voir apparaître devant nous des soutien humanitaires- paratonnerre éviter les tuiles que projettent les toits de la misère, Des cœurs cheminées,des politique chapiteau Des crépis du silence Les situations caniveaux, Les moulins à vent
De ne pas être obliger de sauter sans parachute ni parapente financier, pour se retrouver écraser, d’indifférence dans le macadam de la société se retrouvé écrasé sous les pavé rouge dans le terreau de la morosité ou éclore les tristes pensée
N’est-ce pas lui qui contrôle, Les wagons de notre destin, Qu’il pousse,freine quand il en a envie, Nous remet sous ses rails, Parfois même responsable quand certains déraille
N’est-ce pas l’homme ou son entité économique qui tient les ficelles ; Qui fait du tiers-monde son stand de loterie, Ou il accroche glorieusement les étoiles des états unis Propose aux enfants d’une autre galaxie de tirer les ficelles, Pour gagner sois des figurine de Staline, Hitler ou Lénine, Sois Des guerres ethnique ou civile, Ou bien encore des mamans orpheline Des mitraillettes ou des grenades humaines, Mais il garde toujours dans son stand, La paix ,la cagnotte , les orgues de barbarie et leur terribles, rengaines la figurine de Che Guevara,
pour faire de la planète des médias son propre spot, accroché au panorama ,de sa galaxie, faire des déflagration de ses bombes sous l’orage de mémoire meurtries des flash ou des stroboscopes
il peut voir s’abattre ses billets tel une pluie de confitie, sous les gratte ciel du capitalisme,
C’est lui l’homme habillé du drapeau étoilé, Ou son entité économique, Il tourne, il tourne la manivelle universelles, C’est lui qui est responsable, De nos chants de guerres,de nos hymne à la haine, Grâce à son orgue de barbarie Et il ca recommence ,on réécoute la marseillaise il ne change jamais le papier, On entend toujours les airs de mélancolie parmi les cris, Il lous instrumentalise, C’est lui l’orchestre de la guerre et de la tyrannie
N’est ce pas lui ou son entité économique, Qui tient en sa mains presque divine, Les entreprises montgolfières,les fusées hierachiques, Des parachute ou parapente financier, Des ouvriers -cerfs volants ,les cœurs ballons d’hélium Percé par les guerre ethnique économique Qui décident oui ou non, De les faire décoller dans Qui sème dans nos tête son compte à rebours numérique
Décide quand il veut de faire décoller , Les fusés hiérarchique, Du plateau circulaire, En constance mouvement de nos vie, En avant ou en arrière C’est lui qui décide Decide oui ou non de notre inertie,
N’est ce pâs lui qui fait du circuit de la vie, Des gens auto -tamponnant De son panorama ou il ne redoute pad de voir Une collision générationnelle problématique
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