Espoir perdu qui grandi a grand pas,
Le soir résolu a me rendre vers toi,
J' ouvre cette page de nature volage,
Dans la marge je dessine un nuage,
Je sais que sa restera dans le virtuel,
Criant pour un amour déjà éternel,
Mais le son se perd dans se ciel,
Ne pas regarder en face que tout s'efface,
Sur c'est océan ou les bateaux passent,
S' exiler dans ses pensée et pleurer,
Dans ses larmes acérés noyer ses dictés,
Pauvre poète qui tel un trop vieil athlète,
Pose sur se papier ses craintes de solitudes,
Sachant que sa dernière épreuve sera plus dure.
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"