J’ai rêvé d’un pays…


J’ai rêvé d’un pays où les jeunes enfants
Dans la rue s’amusaient et couraient librement
Sans se mettre en danger, sans être délinquants
Mais, dès la nuit tombée, revenaient sagement

J’ai rêvé d’un pays où les vieilles personnes
A la fin de leur vie, coulaient des jours heureux,
Sures d’aller au bout sans qu’on les abandonne
Car les jeunes savaient s’occuper de leurs vieux

J’ai rêvé d'un pays où, au temps des moissons
Rivières et ruisseaux permettaient de nager
Dans une eau de cristal où vivaient des poissons
Que l’on pouvait pêcher et manger sans danger

J’ai rêvé d’un pays où l’été sur la plage
On pouvait cheminer, les pieds nus, dans le sable
Sans s’obliger, le soir, à un grand nettoyage
De la peau maculée de taches redoutables

J’ai rêvé d’un pays où chacun projetait
De devenir, un jour, le plus fort, le plus grand,
Il trouvait cent métiers qui le lui permettaient
Sans passage obligé par le petit écran.

Je connais ce pays, c’est là que je suis né.
Il est vrai que, souvent, on y venait moins vieux
Mais ce rêve est-il fou d’y vouloir retourner
Y vivre moins longtemps mais en y vivant mieux ?

On rêvait tous de revenir sur notre lieux de naissance
Le berceau de notre coeur
amitiés

Quel beau pays! Beau rêve aussi, on espère tous finir nos jours dans le pays de notre enfance...

j'en reve aussi sauf que moi ce pays là je ne le trouve pas !

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Il n y a d'autre monde que le monde spirituel. Ce que nous appelons le monde sensible est le mal dans le monde spirituel et c que nous appelons mal n'est que la nécessité de notre éternelle évolution .

Quel est ce fabuleux pays ? Merci pour ce beau poème

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Un grand Bravo pour ce poème....

Bien écrit, une nostalgie juste et réelle que je partage volontiers, j'aime votre façon d'écrire.

Merci beaucoup pour ce partage

cinderell

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La poésie est à la fois une cachette et un haut-parleur...Nadine Gordimer,Afrique du sud 1923

Bopnjour Popa les rêves ne sont pas interdits.
J'ai aimé le tien.
Mon amitié.

Capricorne

Un beau rêve qui se propage sur nos pages
Comme un tableau,une belle image

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QUAND TU PLEURERAS :
VIENS ESSUYER TES LARMES SUR MA PAGE
TON SOURIRE REVIENDRA
CAR JE T'AI LAISSE UN MESSAGE
"MON OASIS EST UN JARDIN DE FLEURS :
QUI SECHERONT TES PLEURS"

bonjour Popa, superbe, un poème qui réchauffe le coeur et une inspiration pleine de tendresse nostalgique, merci pour ce délicieux partage.

yann