Je souffre au crépuscule qui t'arrache à mes bras
et brûle au moment où mes yeux suivent tes pas
souvent quand tu t'en vas, me saluant du geste
oppressé de tristesse , mon coeur pleure en silence
usant dans ses larmes l'amertume qui lui reste
fortement chagriné , vers la nuit je m'avance
follement angoissé redoutant ton absence
regard voilé, je laisse perler mes larmes
et je me dis qu'un jour tout sera merveilleux