Voilà un poème que j'ai achever peut de temp après le dernier précédement publié :
J'entend souvent son chant, sa voix dans mes oreille,
Et qui à chaque fois n'est plus jamais pareil,
Provenant du fin fond de la fausse abyssale,
Peut être de cet être au funeste habit sale.
Il parcoure le temps, les blessures et les maux
Et transforme les plaies en brillants champs de mots,
LÃ n'entendez vous point, le bruit de ses murmures
Qui pénètrent l'esprit tel le vent aux ramures.
Ô maître de tout art, chère nécromancien,
Ramène la parole écrite des anciens,
Ramène leurs esprits de la froideur du gouffre,
Où chaque individu, là s'entassent et puis souffrent.
Tel la clarté d'un astre, Ô éclaire ce monde
De terres si fertiles au crépuscule immonde.
Maintenant vos avis