VOUS POURRIEZ ME DIRE ET VOUS AURIEZ RAISON.......
petit divertissement
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Vous pourriez me dire et vous auriez raison:
- AH ! Non ! C’est un peu court Madame....
Et je vous répondrai bien des choses si..Dame!
Je n'étais à l'instant si pressée par le temps.
J'ai lu chacun de vous, je sais dès à présent,
L'âge ne compte pas, il faut aimer toujours.
A suivre vos conseils espérer de l'amour,
Ce bonheur ne sera que s' "IL"est consentant.
Je doute tant de lui, mais le sait-il vraiment.
Aviez-vous remarqué son intérêt pour moi ?
Vous ne répondez pas ! Vous voilà silencieux.
Pourtant vous écrivez, avez des choses à dire.
Remontez donc un peu au quatrième vers,
Aurais-je donc compris tout cela de travers.
Les amitiés ici restent copains copines,
Tout serait virtuel ? Je hais cette machine
Qui donne l'illusion d'un amour printanier,
Empli de boutons d'or tel un jardin d'été.
Vous insistez je vois pour bien mieux me connaître
Je ne vous dirai rien ...ou bien peut être.
Un jour, ou une nuit, ne me chicanez point
Peu importe l'endroit sachez qu'il était loin.
Il est déjà navrant de raconter ses fables
S'il vous faut des détails, diantre ! Soyez aimable,
Je poursuivrai peut être si je n'étais perdue
Et je suis je l'avoue quelque peu... vermoulue.
Nous étions replongés dans des émois sans fin
Mon coeur et moi, éveillés dès le petit matin.
Car par enchantement ce dernier est aux anges
Il flotte dans le temps, cela est fort étrange.
Féminin, masculin, l'organe à ses raisons,
Il peut se conjuguer courir la déraison.
Mais s'il rencontre un jour des ailes éphémères,
Un papillon d'amour poursuivit de chimères,
Notre coeur se lamente, ouvre ses cicatrices
Accroche sa douleur au clou de l'avarice.
Il est si bon d'aimer, d'offrir en nudité
Des broderies d'amour pour un homme tenté,
Tout comme moi ici, par un coeur oublié...