Ô. Leïla ! Depuis le feu de votre corps léger.
Meilleur que le rossignol qui chante .
Meilleure que la subtile odeur des roses,
le zéphyre se joue autour de l'oranger.
Et tes vers qui coule avec sa lamentation douce.
Avait une douceur plus sûre que ton amour léger !
Ô. Leïla ! Depuis le feu de votre corps léger.
Vos baisers, ont fui de votre fraiche frimousse,
Et votre parfum qui s'exale de votre corps adulé,
Ni de cette divine senteur, aigre doux.
Amour, sur l'herbe humide où tu te trémousses,
Le rossignol ne chante plus parmi les roses courtisés ;
L'eau vive de tes rêves, n'a plus sa complainte douce,
L'aurore ne roussit plus l'azur pur et léger.
Oh ! Mon amour, votre cœur était tellement naufragé,
Et vous reveniez vers moi, avec votre petite frimousse.
Votre regard chargeait, les fleurs d'un amour louangé,
Que sont les roses d'Ispahan, dans leur fourreau de mousse !
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bernard 138
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