Je sais où meurt l'âme, de mon étoile nouvelle
Quand rentrent au miroir, lueurs et nouveaux jours
Ronflant entre les heurs, du temps des amours
Qui en font des jardins, où elle n'était que belle.
Le soleil ennemi, de sa torpeur réelle
Rentre tôt étonné, réchauffer les faubourgs
Qui roupillent mouillés, sous les lueurs des coures...
Quand la nuit bat ailleurs, sa joie habituelle.
Les temps en font des jours et des nuits partout
Sous leurs habits, noirs, blancs et gris en se vidant
Au néant le montrant en sa partie, inné;
Ces parties dessinent et effacent leur tout
Sous soleil, sous étoiles, tout le temps en leur champ
Comme elles ne sont que temps dans le ton émané.
Karine. f 2011
----------------
Je ne suis pas un chauffeur de taxi. et je ne suis pas med et non plus Nicolas et mohamed.
Désolé !