Laisse moi te dire ceci déjà ami Olivier...Je suis tout comme toi un inconditionnel de Totor, en vérité je ne connais rien d'autre que Lui seul...Il est une Lumière qui me suffit, et je refuse d'employer un verbe à l'imparfait parlant de Lui, car il est bien toujours vivant.
Autre chose, ton poème est splendide.
"Lorsque ta plume parcourait le papier
Les anges devaient accourir par milliers"===> c'est exactement ce que je me dis, tout comme Mozart pour la musique, Dieu choisit Hugo pour Poésie.
"Ton coeur immense, et tes contemplations
Abreuvent les âmes vides de tes adorations
Les fées n'en reviennent pas.
Moi je m'abandonne à tes somptueux dires
Et je sais que tu joues toujours de ta lyre
Dans les scellés du trépas."===========>no comment, que mes bravos!