0 vous qui écoutiez , mes vers en cadence ...
0 vous qui écoutiez , mes vers en cadence ...
Et vos soupirs qui s’exhalent et qui me serve d'aliment
j’entrevoyais votre corps jusqu’à mon enivrement,
Et votre amour était à l’aurore de sa puissance ;
J'espérais amour trouver de la pitié et de l'indulgence,
Près de toi dont je sentais encore ce cœur aimant,
Si dans cet espoir fou, j'essaie, dans un vain tourment,
Devant tant de passions diverses dans une plaine de silence.
Mais je le voyais trop bien,toi qui te donnes en entier
Tu auras servi bien longtemps de tristesse à mon cœur oppressé,
Et souvent je rougissais de ma lutte insensée.
Et de ce long rêve amoureux que vous me révéliez,
Malgré tout, Le regret, la tristesse, et je la voyais sans mystère
Que ce qui peut plaire au monde, et nos rêves éphémères.
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bernard 138
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