Ta photo, est dans mon abat-jour,
Je prie le bon Dieu, de te voir un jour,
Et parler du sublime, notre amour de toujours,
Et sa délicatesse, de jour en jour ;
C’était un amour, spontané plein de charme,
Dans son humour, la joie coule les larmes,
Toi et moi, en vivions dans l’extraire du paradis,
Aucun- non- ne se dit, l’égalité répondue,
Et dans le vaste de la nuit,
La volupté reprend ses droits,
En connaitre jamais l’ennui,
Dans notre paradis, le même endroit,
Dans ma mémoire, n'y a que les bienfaits, mon ami,
Et nul ne peut occulter, dans notre amour, les ennemis ;
Viens me voir dans ma solitude,
Et chasse moi, la lassitude.
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les années de disette dictent les poètes