Comme des prédateurs de la nuit
Sur leur ordinateur, ils en rient
Attaquent le coeur innocent
De ce monde d'enfants

Ils se réunissent dans un cercle diabolique
Ecrivent de leurs mains machiavéliques
Les mensonges défilent rapidement
Leur toile d'araignée se referme doucement

De pauvres petits innocents se font violer
Leur innocence arrachée
La lumière qu'ils avaient dans leurs yeux
Eteinte, à jamais, comme des gueux

Dénonçons la violence virtuelle
Que ces prédateurs utilisent comme aquarelle
Pour tacher le coeur d'un enfant
Qui tombe dans ce mouvement

Protégeons la vie heureuse de ces enfants
Et, renonçons à cacher les violents
Qui détruisent le bonheur absolu
En s'infiltrant comme des inconnus

Les prédateurs de la virtualité
Sont, aujourd'hui, là, pour attirer
De simples enfants et adolescents, comme des jouets
Pour les prendre et les toucher

En punissant leur vermine âme
Attisons doucement la flamme
Qui saura cesser toutes blessures
En les noyant dans leur salissure

Les prédateurs de la virtualité
Sont des êtres à fusiller
A enterrer dans les profondeurs de la terre
Dans l'oubli de l'espace, de l'univers

Nos enfants, nous les garderons
Au chaud,à la maison
Le virtuel peut être, parfois, essentiel
J'affirme qu'il est mortel

Bonjour Libertas, un beau cri de colère que j'apprécie.
Mes bisous.

Capricorne

Tout à fait daccord avec vous on touche pas a nos enfants,
merci

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