Plume d'argent Inscrit le: 23/7/2011 De: Envois: 230 |
"le cirque musicale" Ta langue est la manivelle rouge de ton orgue de barbarie, Qui nous joue ces mêmes airs de joie et de dépits Ta bouche est un tuba , qui grâce à sa voie -mandoline, me donne des bouffées d’oxygène,quand le souffle de son son me câline lorsque j’ai la tête sous l’eau ou que je suis en apnée, En train d’explorer tes seins aux cratères écarlate orangé et qui me semble de lointaines vallée Mon cœur est aussi tendu qu’un tambour Et bat au rythme de notre amour, Mon thorax si squelettique est une harpe à corde osseuse Pour tes doigts qui glisse en même temps que ta voie mélodieuse Pour me faire jouer le plus beau aire de désinvolture intérieure Filtrant simultanément l’aire de mon extravagance pudeur Tes fesses rondelettes sont un tam- tam Pour mes mains- cymbale, créant par percussions sentimentales l’étincelle de cette flamme, Ta voûte charnelle est un triangle écarlate orangé Au contact de ma tige en nerf d’acier, éclaboussant cette propagation aigus de sonorités Tu orchestre et joue de la flûte de pan certaines nuits, Parmi, le silence de ce bruit, le brouhaha silencieux de ses cris, je suis une pluie d’étoiles filantes qui brillent au zénith de ta vie
Tu es un accordéon de sentiments d’irrégularités cycliques, Que je plie,que je déplie, qui nous joue un éventail d’humeurs ,de joyeuse à mélancolique que je déplie,que je plie, sans jamais jouer de fausses notes de cette amour mélodique quand tu rhabille ,que tu déshabille par irrégularités cycliques, avec les graves sonorités que dégage ta voie mandoline Regarde notre amour suspendu à ce fil de spaghetti, Qui fait l’ équilibriste,attentif Suspendu à ce fil tenu et qui se relie par nos bouche et traçant ce pont affectif Prieront pour que jamais ne se brise ce fil de pâte pétris
Le spectacle continue,j’ai attrapé tel un clown, le nez rouge élixir A force de t’Enivré tel un tonneau humain,ou fermente ton rire Je suis un éléphant relatif au poids du délire, Qui t’arrose de sa trompe et,ou ton sourire s’équilibre Sous le raisonnement étincelant des cymbales, mains des spectateurs que sont nos coeurs ahurit, sous les tambours,que sont nos cœurs qui se régale de l’ accordéon des moments agréable qui se plie,se déplie se replie
Le spectacle poursuit tu me dompte tel un tigre du Bengale, Par le fouet du désir, Me faisant traverser cette anneau de flammes et de laves, Je suis un fauve qui veut sortir de cette cage formé par les barrières de l’abstinence qui nous gave
notre amour est un jongleur habile, qui joue avec les phrases sabres,les cerceaux du désirs, notre amour est un jongleur habile, qui joue avec les assiette fiscales,les bols d’oxygènes à venir,
Le spectacle s’achève mais Notre amour est un funambule Sous les couleurs vives et sombres de cette arc en ciel sentimentale, Notre amour sera toujours un funambule Sous les cordes en surnombres de cette arc de cupidon, si fondamentale.
Ton amour sera toujours un funambule Glissant par ses doigts magnifiques, l’éventail de ces hymne à l’amour qui déambule sous les cordes squelettiques, De cette harpe osseuses désormais décomplexée que je suis
Mon amour sera toujours un funambule Qui ne veut pas perdre l’équilibre sous l’éventail des couleurs, vives et sombres qui déambule sous les Cordes de cette amour- luminaire et libre que nous déplions , plions,replions
Mon amour sera toujours un funambule Qui ne peut pas perdre l’équilibre , sous l’éventail des sonorités,grave ou aigue, qui déambule Qui ne peut pas perdre l’équilibre, sous l’éventail des cordes de ta voie ,cuivrée et radieuse, Qui forme cette accordéon de voie ,cuivrée et lumineuse, Que tu déplie,replie, plie à volonté Et qui me sert de bouche-tuba,quand je suis en apnée
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