Une étincelle,
Une autre
Et puis, plusieurs autres.
Un tonnerre se prépare
La peau gronde
Sous un ciel de derme.
Les métaux sont à blanc
Dans le ventre du volcan
Qui invente un nouveau vocabulaire.
Le dire du feu qui se terre
Pour mieux se refaire
De l'incandescence des lieux
Où la fusion se régénère
En décrétant la lumière.
C'est le retour aux sources !
A l'aube des origines
Où pierre contre pierre
Le feu prend son élan.
C'est le Big bang !
De la première heure.
Le feu ravageur
Au tsunami des sens
Prête allégeance
Pour la dernière guerre.
Le temps s'avance
Menaçant les heures.
A l'injonction du silence
Le bruit se meurt.
Un don de providence
Que cet amour d'enfer !
Sous la peau qui crépite
Le feu couve son nid
Sur la plus belle pépite
Cette perle de la vie !

J'adore les perles naturelles et ton poème est un joyau du cœur.
Merci

voici que mes yeux s'enflamment sous le feu des mots de ce poème,
Que la plume de ce brûlant vocabulaire nous fasse encore crépiter.
Merci beaucoup

Denise

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"Il n'y a rien que les hommes aiment mieux à conserver et qu'ils
ménagent moins que leur propre vie" LA BRUYERE

le feu.. clarté... soleil....la chaleur
belle inspiration

vers libres

bel écrit

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"Une étincelle"..."le feu couve son nid"..."à l'aube des origines"
Un fort beau poème dont j'ai aimé parcourir les lignes poétiques

Amitiés .Anto

Des symboles fusionnelles, que ton vers a ciselé joliment.. amitiés

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Je crois qu'il n'y ait eu guère d'auteurs qui aient été contents de leur siècle. Vauvenargues.

Bonjour,
Un grand merci à tous les enfants de la poésie qui honorent mes mots, ces instants de ma vie.

le feu infernal et vital un poème ardent !

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran