Quand je vois ces messieurs qui ont l’autorité
Du nom de Jupiter venir à la télé
Nous dire qu’un bouclier il nous faut révérer
Quand je vois de l’Etat sa pompeuse apparence
L’entretien d’une cour pour grandeur de la France
Quand je vois se creuser la dette des années
Qu’il faudra affronter sans rigueur la finance
Des banquiers, conseillers dans ces folles dépenses
Je me sens bouffonné, gondolé, marchandé
Et je supplie Hercule qu’il donne récompense
Aux faquins, aux vilains à tous ces dioclétien
Aux princes et aux rois, à ces vieilles sibylles
Qui parlant le latin nous veulent tous dociles.
Pierre-Louis SESTIER

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Une humeur difficilement contenue
" sous le bonnet " !

Amitiés Pierre-Louis..

michel

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MON 2eme RECUEIL...JE TE PORTE L'AUBE..EST DISPONIBLE..
http://www.oasisdesartistes.com/modules/newbbex/viewtopic.php?topic_id=97282&forum=47

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Merci à vous Michel et Renée.

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Je suis en complet accord avec tes mots
et je reprendrais pour complèter léo Ferré
"Ils ont votés...
Et puis après...
Ils n'ont plus de cul les français
Dans un pays qui me..."

Quelques mots d'un grand poète pour crier qu'on se moque de nous.!!!!
Ecoute ce poète Hercule...prends le baton.!!!

Bonjour Pierre-Louis voila un cri de colêre bien senti!!!
Nous avons tous, je crois des ressentiments contre ces dirigeants politiques qui nous entraînent vers un monde où il ne fera pas bon se réveiller.
Tu nous explique cela avec beaucoup de conviction.
Merci pour ce très profond partage.
Mon amitié.

Capricorne

ET que la révolution soit ! tel est l'exutoire de la colère.
HONORE

Merci à vous camarades poètes.

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Grandeur et décadence, sous le chapiteau de l'Elysée le nez rouge ne fait plus beaucoup rire le peuple et si les barricades montrent leur nez ce ne sera plus pour bouffonner comme tu dis... la carmagnole risque de faire des adeptes....
quand à ton texte il pourrait bien être placardé sur les murs de la capitale .......
d'ici là que tu sois guillotiner j'en connais au moins un qui sera content

Bises mon cher "Dalton"

une humeur phrygienne que nous sommes de plus en plus nombreux à partager, comme je te comprend, merci pour ce beau reflet révolutionnaire.

amitiés

yann

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Un billet d'humeur fort bien écrit, digne d'un grand tribun. Tu as bien exprimé le cri des plébéiens, avec un zeste d'humour.
Salutations, camarade poète Pierre-Louis,

marie-claude

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Jamais je n'irai
Aussi loin que me conduit
Le chemin d'amour

(haïku de Hyacinthe Vulliez-"la joie d'être"-Ed "les Amis de Crespiat")

Merci à vous.

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