Quand de ta douceur soyeuse, tu envahis mes sens
A la lueur de l'aurore, lente et belle sérénité
De tes baisers, imprègnent mon coeur en transe
Et, cède à l'accalmie de ton amour félicité

Cette simple euphorie fondante et mielleuse
Dans le conflit du destin acharné du temps
Lègue ta tendresse à l'ivresse tumultueuse
De nos corps harcelés par de courts instants

En nourrissantes perles atténuent la tristesse
Du chagrin de cette longue et brusque indolence
Qui, d'un sursis têtu, attire toutes caresses
Dans l'affinité de nos coeurs en souffrance

Dans le sentier incandescent du ravissement
A l'azur marbré de l'étoffe des vibrants câlins
Notre dévouement initie le plaisir, délicatement
D'une pure nuance, à l'aube d'abysses sereins

Au paradis des amants déchus de tout espoir
Qui déprave toute passion de ces corps en délivrance
L'amour s'immisce farouche vers les aux revoirs
Que le temps dépouille de sa rapide sentence

Bonjour Libertas, un beau paradie tout de-même sous l'encre d'amour de ta belle plume.
Merci pour ce bel instant.
Mes bisous.

capricorne

merci jose pour ton gentil commentaire qui me fait bien plaisir
amities

Magnifique et superbe musique des mots

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La peinture est une poésie qui se voit au lieu de se sentir et la poésie est une peinture qui se sent au lieu de se voir. (Léonard de Vinci)

merci monsieur fluc pour vos gentils mots
amicalement

bonsoir libertas,

quelle profondeur en ces mots et rimes, on y ressent , entremêlés, la félicité d'amour et la souffrance endurées par les "au-revoir" ... ces mots sont poignants, et leur tissage fait dans la beauté d'une rare dentelle !

merci à toi pour ce fort partage
amitiés
lilalou

merci douce lilalou pour tes mots qui me donnent toujours du baume au coeur
un amour fort mais pourtant tres complique
amities douce lilalou

Bonjour Libertas,

Le paradis des amants déchus ne serait-il pas parfois plutôt proche de l'enfer ...
Il est néanmoins très agréable à découvrir au fil de tes jolis vers.

Amitiés

Christian

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