Voila un poème qui par rapport aux autres sort bien du cadre "obscur" des précédents et qui s'intitule : Le Jardin.
Pénétrant à mes heures au sein de ce jardin,
Telle une création de l'un des fils d'Odin,
Un lieu sous la splendeur de fleurs en toutes sortes,
Et le long de l'allée étend des feuilles mortes.
Ô bruits de la nature, aux belles promenades,
Et les oiseaux chantaient, Ô douces sérénades.
Sous le chant mélodieux de ces frivoles bardes
Et contemplant la grâce, au delà mes yeux dardent
Ces cygnes s'étreignant, A l'amour tant usé!
Sous le regard d'un être au coeur désabusé.
LÃ qu'importe le temps au rythme des saisons
Car pour ces charmes anciens : nulles péroraisons!
Aux aurores avons-nous un mode de désastres.
Là luit la pureté éclatante des astres.
Encore une fois la réplique habituelle : maintenant vos avis
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