Asseyez-vous près de l'aurore .
Amour mon cœur est léger
Asseyez-vous près de l'aurore
Je suis seul ! (…)sur l' échos des ondes
de l'amour
Et le rêve de la distance infinie des corps.
Ou des torrents de lumière inondaient l'aube
Nostalgie indéfinissable du désir la tristesse,
Qui en moi, monte comme une mer sans yeux
Tu errais comme un corps sans âme. .
Dans la nuit de mes rêves
Ton voile noir se lève
Pour masquer ta nudité
Comme une vaste étoile dans le ciel.
Tu étais cette pureté !
Entourées pleines de grâce
Entouré de la tardive aurore
L'amour de ton âme amoureuse scintillait !
Que vais-je faire de votre regard
Remplis à la lumière du ciel
Et de ne pas sentir votre peau
Et La chaleur de votre corps sur moi !
Pourquoi Amour, vous ai-je ! perdu
dans ces moments d'ivresse, et pour toujours
Dans une journée de printemps d'amour ?
Aujourd'hui, mon cœur est en perdition
J'étais comme une étoile s'éloignant au large.
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bernard 138
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