Lâche moi, va t’en ! Je souffle. Un sursis. Tu renaîtras, je le sais, mon ennemi. Tu brûleras lentement mon cœur et ma chair Dans mes tripes brûlantes, ton acide est amer !
Tu n’es pas anonyme, tu n’es pas invisible Je te sais fort, tu me sens fragile Ainsi qu’un parasite, nuisible, Mes angoisses sont ton combustible.