Si petit en apparence mais débordant de souffrance ,
Mon coeur est fragilisé par ce manque de tolérance.
Ayant connu la violence et l'insistance ,
Il s'est fondu dans l'indifférence ,
Face à ces esprits inconscients
En qui l'amour est inexistant ,
Je ne peux être indulgent
Pour ces êtres malfaisants ,
Qui ont détruit une partie de ma vie
Et pour qui ma haine s'est bâtie.
Je ne pourrais effacé le mal-être que je vis
Mais aujourd'hui , j'ai grandit.
La roue va tourné ,
Ma blessure se refermait ,
Et je ne vivrais
Que pour la famille que je me suis crée.

laetitia thomas

Bonsoir Laeticia, joli poème que tu nous écris là.
J'ai beaucoup aimé cette note d'espoir que ta belle plume y a semé.
Mes bisous.

Capricorne

un poème qui finit sur une belle note d'espoir :-)

tou ces malheurs écrits ..il faut apprendre à les effacer..
Et maintenant : vive la vie.!!

"Et je ne vivrai
Que pour la famille que je me suis crée"
voilà un très beau projet et je ne peux que t'y encourager , bonne journée