Ce Vampire qui te suce le sang,
Dois-je le considérer comme ton amant ?
Il te suis à longueur de journée,
A croire qu’il ne veut pas que te sucer,
Ton sang, au couleur du vin,
Sortant de ta peau à la couleur du pain.
De ton sang il te videra,
Et à force tu mourras…
As-tu donc l’envie,
Que t’as pauvre vie finisses ainsi ?
Il n’est pas trop tard,
Pour prendre un bout de bois en forme de dard,
Appelé couramment Pieux…
Lui transpercer le cœur et le brulait,
Pour le revoir à jamais !
Fin
Vermouth