Dans la cité des âmes perdues,
Une émotion forte erre
Dans les couloirs perdus.
Le cri de leurs angoisses
Et leurs tristesses
Résonnent dans les remparts de l'oubli.
Une insomnie les plonge
Dans le plus profond de leur nuit
Abandonnés à leur solitude...
À travers les mots
Le corps est là
Mais l'âme en liberté
S'évade pour un instant
Pour voir un ciel bleu ...
Ou le visage d'une bien-aimée.

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Un beau poème,
la personne humaine ne se réduit pas à sa forme apparente, à son corps qui peuvent être bien diminués et sembler être une prison alors que l'esprit , le coeur ont cette incroyable capacité de pouvoir demeurer dans la jeunesse, l'espoir, l'aspiration au beau.

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Jamais je n'irai
Aussi loin que me conduit
Le chemin d'amour

(haïku de Hyacinthe Vulliez-"la joie d'être"-Ed "les Amis de Crespiat")

Bonjour, SACRO

Tu as su créer une atmosphére sur un texte court avec des mots forts bien choisis

Phil

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De l'ombre à la lumière sur le chemin de la poésie

Tu crée l'atmosphère en quelques mots forts qui mènent ton poème jusqu'à la délivrance finale. C'est beau !

un corps sans âme n'est rien.... bel écrit Amitié Anabel

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LA RAGE AU COEUR
www.manipulation-et-demence.com

que c'est bon de donner congé à notre âme pour rendre visite à la bien aimée...

que c'est bien imaginé!!!





Amitiés, Ahmed.

Un grand merci à Marie 12 , Phildor, Lydie et Larage pour vos encouragements. Ce la me donne chaud au coeur. On réussit à emprisonner le corps d'une personne mais jamais son âme.