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Expéditeur Conversation
cyrael
Envoyé le :  3/5/2010 15:51
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 30/10/2005
De: ****
Envois: 83220
********




2.Mai .2O1O.


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EVELYNE NADINE maryjo 2O11

Napolaidron
Envoyé le :  3/5/2010 15:55
Plume de satin
Inscrit le: 1/5/2010
De:
Envois: 20
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
vos vers auraient fait un malheur Ă  ma cour. Napolaidron 1
barremien
Envoyé le :  3/5/2010 15:57
Plume d'or
Inscrit le: 2/1/2010
De:
Envois: 504
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
la beauté de tes mots dépasse ce calme ennuiyeux qu'on trouve dans ces abbayes, zaouiya (couvent des marabouts musulmans) et toute cloitre prétendue au nom du dieu...
.....
le bédouin
anonyme
Envoyé le :  3/5/2010 16:01
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
Bonjour Maryjo, magnifique poésie pour une abbaye que j'ai pris plaisir à revisiter en ta compagnie.
Merci pour ce magnifique partage.
mes bisous.

Capricorne
Soliane
Envoyé le :  3/5/2010 19:16
Plume de diamant
Inscrit le: 22/6/2005
De: Aquitaine
Envois: 24235
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
Un silencieux en voûte ment.


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Eve-Lyne
Envoyé le :  3/5/2010 21:10
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 24/9/2009
De: La Route des Vins
Envois: 13236
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
Une trés belle méditation !
Merci MariJo pour ce partage !
Amitiés


----------------
EvE-LyNe

cyrael
Envoyé le :  3/5/2010 22:34
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 30/10/2005
De: ****
Envois: 83220
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
Napolaidron

barremien

capricorne ..

SOLIANE..

EVE LYNE..

doux soir aux poètes,



remerciements

Le cloître.

Le cloître Galerie ouest
Dans la ruelle des convers une porte de ferronnerie fait passer au cloître lumineux. La lumière y est diffusée par des arcatures et des oculi. Cette cour intérieure est le cœur même de l’abbaye. C’est par la galerie ouest longeant le bâtiment des convers qu’on aborde cet espace clos enserrant un petit jardin.

L’arc brisé ouvrant la première travée découvre la perspective des massifs fleuris qui entourent le puits devant l’angle des grandes arcades dominées par le clocher. Deux périodes de construction et deux styles différents se sont succédé ici.

Un premier cloître, bâti de la fin du XIIe au début du XIIIe siècle, fut élevé selon les règles de l’art roman. L’ensemble des parties basses, notamment la double procession des colonnettes et leurs chapiteaux à décor de feuillages supportant des petits arcs plein cintre, appartient à cette époque, mais c’est alors une charpente de bois avec son toit en appentis qui couvrait les quatre galeries.

Dans la seconde moitié du XIIIe siècle, quand Fontfroide, riche de multiples donations, entame le temps de sa plus grande prospérité, un important remaniement est réalisé suivant le goût et les techniques nouvelles, celles de l’âge gothique. Dans chaque travée, les colonnettes romanes, toujours en place, sont désormais surmontées d’un haut tympan, percé d’oculi différemment répartis et qui s’inscrit lui-même dans un profond arc brisé. L’ancienne couverture de bois est remplacée par la pierre et, à l’intérieur des galeries, les voûtes d’ogives retombent le long des murs sur d’élégants culots, à deux mètres du sol. Il faut encore parcourir la galerie sud pour atteindre le portail donnant accès à l’église abbatiale.


Fontfroide -- Le cloître vu de la salle du chapitre Galerie sud
Elle jouxte le collatéral de l’abbatiale et fut bâtie la toute première, aussi bien lors de la construction romane que lors du remaniement ogival. Les colonnettes sont ici groupées, dans chaque travée, en cinq paires : leurs marbres alternent le rose de Caunes, la griotte des Pyrénées, le blanc veiné de gris ou de vert ; leurs chapiteaux offrent les motifs végétaux les plus variés.

Au-dessus, les deux tympans centraux s’aèrent par trois oculi, au lieu de l’unique, présent partout ailleurs. Mais ce sont les voûtes qui recèlent les particularités les plus curieuses. La croisée d’ogives y est accompagnée d’un lierre longitudinal torique et les compartiments très bombés sont appareillés en lit concentrique comme à la voûte du carré du transept dans l’église.

Tout au long de la galerie existent des bancs où les moines venaient s’asseoir soit pour lire individuellement, soit pour se reposer en méditant ce que leur mémoire et leur cœur avaient retenu de la liturgie ou de la lecture. Dans cette même galerie, deux bassins de pierre servaient au rite du « mandatum », le lavement des pieds que les Cisterciens pratiquaient mutuellement chaque semaine. Elle était aussi désignée comme celle de la « collation ». Tous les jours, à la fin du travail et avant le repas du soir, le père abbé y lisait et commentait des textes patristiques. Or, le plus souvent il utilisait pour cela le recueil dit des Collationes, où saint Jean Cassien, au Ve siècle, avait rassemblé les principaux passages des plus célèbres Pères de l’Église, notamment saint Augustin et saint Jérôme. Comme en période d’Avent et de Carême, les moines ne rompaient le jeûne qu’une seule fois dans la journée, à la tombée de la nuit entre nones et complies et précisément en ce lieu, le terme de collation passa de la lecture à la prise de la nourriture elle-même, puis finalement à notre acception moderne et laïque de repas léger.

Galerie est et salle capitulaire
Le mur de la galerie est, immédiatement contigu à la porte de l’église et laisse deviner, derrière une statue bourguignonne de la Vierge à l’Enfant et au panier de roses, l’emplacement obturé de l’armarium. Dans cet évidemment ménagé sous l’escalier du transept étaient conservés les livres nécessaires aux offices, les textes de l’Ancien et du Nouveau Testament, les œuvres des Pères de l’Église.

La porte qui s’ouvre aussitôt après introduit à la sacristie, belle pièce voûtée en berceau. Cinq travées rythment la galerie Est et la travée centrale apparaît vers le jardin entièrement évidé, sans arcature de colonnettes au-dessus de la banquette et sans tympan, ouverture symétrique de celle qui, lui faisant face, constitue l’entrée de la salle capitulaire.

Le seuil servant de transition entre le cloître et la salle elle-même marie la sobriété et la majesté, la puissance et la légèreté. L’arcade centrale en plein cintre s’appuie sur deux groupes de quatre colonnes de marbre entourant une cinquième. La salle a vraisemblablement été construite entre 1180 et 1280. Contre les trois murs pleins, arcs et nervures reposent sur les chapiteaux très simples de colonnes engagées. Au centre, ogives et doubleaux sont soutenus par quatre colonnes de marbre. Leurs chapiteaux évasés s’ornent de deux rangs de feuilles plates, représentations stylistiques du « cistel », le roseau d’eau des étangs de Bourgogne qui a donné son nom à Cîteaux.

D’ici, à travers les colonnes du chapitre et de la galerie, répétée au-delà par celles des autres travées du cloître, se découvre une surprenante perspective : fûts de marbre et arcs de pierre multipliés imposent l’image d’une forêt au profond recueillement. Deux bancs de pierre superposés courent le long des murs. À l’Est, trois fenêtres éclairent la salle Au-delà de la salle capitulaire, un passage conduit au second cimetière, celui de la communauté du XIXe siècle. À l’origine, il servait pour le rangement des outils que prenaient les religieux avant de rejoindre les jardins ou les ateliers. À l’extrémité de la galerie Est, enfin, un escalier donne à l’étage.

L’église abbatiale

L’église abbatiale et le cloîtreElle a une voûte de 21 mètres de hauteur et est orientée à l'est pour honorer Dieu à chaque levant.

La nef
La construction de la nef fut entreprise dès l’affiliation à Cîteaux en 1145 ou, au plus tard, après la donation définitive par la vicomtesse Ermengarde de Narbonne en 1157. Contrairement aux usages, on commença les travaux par la nef. Rythmées par cinq travées, la nef élève jusqu’à vingt mètres sa voûte en berceau brisé que soutiennent de massifs doubleaux rectangulaires. Ces arcs prennent appui sur des colonnes géminées, engagées dans de gros piliers carrés et s’arrêtant sur des consoles en quart de rond, à deux mètres du sol. Des stalles sont disposées de part et d’autre de la nef pour constituer le chœur des moines.

Cette nef contient également deux collatéraux dont la voûte en demi-berceau monte à quatorze mètres. Ils communiquent avec la nef par de grandes arcades, à rouleaux soutenus par des colonnes engagées dans les piliers et reposant sur des piédestaux, à la même hauteur que les consoles de la nef. Dans le collatéral sud s’ouvrent cinq chapelles qui datent très certainement du XVe siècle.

Les vitraux
Dans cette église cistercienne, les vitraux peuvent surprendre. Du temps des moines, selon une règle rigoureuse, les fenêtres sont seulement garnies de verres « en grisaille ». Quand Gustave Fayet acquiert Fontfroide les verrières ont disparu. Ils adoptent alors le parti pris de la couleur avec son ami René Billa, musicien et peintre, ils installent dans la Bièvre la « verrerie des sablons ». L’ensemble des vitraux de l’église sort de cette verrerie en 1913. Dans ce vaste ensemble, une originalité apparaît : les cinq vitraux du collatéral nord présente la vie de saint François d’Assise.

Le transept et le chœur [modifier]
Élevé après la nef, à la fin du XIIe siècle, le transept a peut-être été remanié un siècle plus tard ou même au début du XIVe siècle. Au fond de la croisée du transept nord, un escalier relie directement l’église au dortoir des moines. Dans chacun des croisillons s’ouvrent deux chapelles, toutes quatre orientées à l’Est. Les plus proches du sanctuaire ont une forme rectangulaire à chevet plat, les autres plus profondes, se terminent par une petite abside à cinq pans.

À la croisée centrale du transept, la clef de voûte est remplacée par une ouverture circulaire, un oculus. L’édifice de l’église a dû s’achever par le sanctuaire, comportant chœur et abside. Légèrement surélevé de deux marches, le premier est couvert d’une voûte d’ogives. Du côté de l’Évangile, on aperçoit les vestiges, très mutilés, de tombeaux dont on peut penser qu’ils furent ceux des vicomtes de Narbonne.

Les dortoirs
le dortoir des moines :

Le dortoir des frères conversIl fut construit au-dessus de la salle capitulaire au début du XIIIe siècle. À l’Ouest, huit ouvertures durent être occultées aux deux tiers vers 1250 quand les galeries du cloître furent surélevées pour faire place aux voûtes d’ogives. Lorsque, en 1910, le dortoir fut aménagé en salle de musique, il fallut masquer ces disgracieux rehaussements de pierre. Les propriétaires installèrent des vitraux de papier. Sur le mur du nord une grande fresque de la musique sacrée fut réalisée. À l’Est, trois baies reçurent des vitraux qui furent les premières créations de la verrerie des sablons.

le dortoir des frères convers :
C’est une superbe salle à voûte de grès rose, en berceau brisé, sans aucun doubleau sur toute sa longueur. Dans sa partie la plus méridionale, cet espace contenait un grenier où les sacs de grains étaient hissés par des ouvertures latérales. La partie opposée représente ce qui subsiste du dortoir des convers après les transformations du XVIIIe siècle.

Le parloir, ancien réfectoire des moines [modifier]
À l’origine, cette salle s’étendait sur 24 mètres perpendiculairement à la galerie nord du cloître, ouvrant sur un lavabo détruit en 1776. Elle pouvait accueillir une quarantaine de moines. Raccourci de moitié, surélevé éclairé par de grandes fenêtres, le réfectoire est devenu une salle à manger au XVIIIe siècle.

L’office
Elle est décorée à l’espagnole. Une remarquable fresque en céramique évoque la vie quotidienne populaire du XVIIIe siècle. La cuisine fut aménagée à la fin du XVIIIe siècle, avec son four à pain, dans l’ancien scriptorium des moines, est restée à l’identique de ce qu’elle fut en 1910.

La salle Ă  manger
Cette belle pièce parallèle au cloître servait aux moines de chauffoir. Depuis 1910, c’est la salle à manger d’été.

La porte romane et le cellier

La porte romane d'entrée du CellierLa porte servait d’entrée principale au monastère. Un arc, vide de tout ornement, dessine un plein cintre. Les claveaux, finement taillés, épanouissent leur éventail en longues lignes trapézoïdales. Un imposant linteau constitué d’un unique bloc, soutient le tympan.

Le cellier est une salle basse, voûtée avec de vastes proportions. Les murs sont épais pour préserver le froid afin de garder la nourriture plus longtemps en bon état. Or, entre l’un de ceux-ci, à l’Est, et le mur voisin limitant la ruelle des convers subsistent les traces d’un escalier qui assurait la communication directe de ce cellier avec le dortoir situé au-dessus.





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EVELYNE NADINE maryjo 2O11

vauv
Envoyé le :  4/5/2010 9:31
Plume de diamant
Inscrit le: 8/3/2008
De: Vauvert, Gard.
Envois: 17878
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
Chère Maryjo, merci de cette sérénité...
Bien Ă  toi,
Sophie.


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"Cependant c'est le seul qui ne me paraisse pas ridicule. C'est, peut-être, parce qu'il s'occupe d'autre chose que de soi-même."A.de Saint-Exupéry.

"Le chemin vers le bonheur : gardez votre coeur libre de haine, votre esprit libre de tout souci. ...

Honore
Envoyé le :  4/5/2010 9:59
Modérateur
Inscrit le: 16/10/2006
De: Perpignan
Envois: 39531
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
Une abbaye que je connais bien et que je te remercie de mettre ainsi en valeur.
HONORE
Artnow
Envoyé le :  4/5/2010 10:04
Plume d'or
Inscrit le: 7/2/2010
De: Pyrénées - Orientales
Envois: 1264
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
Les abbayes, les cloitres vous inspirent à merveille. Cette méditation est sublime.

Et en plus soliane vous a gaté d'un bon jeu de mots; elle en a la clé et elle la cache! je crois que c'est une clé de voute..


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infos, poésie, photographie, recueils :

http://www.facebook.com/pages/Arnaud-Pastoret-Poesie-Photographie/150492441685554


PENELOPE
Envoyé le :  4/5/2010 11:01
Plume de platine
Inscrit le: 27/12/2009
De: Vienne 38200
Envois: 5316
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
Très beau un moment j'ai cru que c'était Le Toronet qui est magnifique aussi


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On a tous le sang de la mĂŞme couleur

cyrael
Envoyé le :  4/5/2010 21:40
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 30/10/2005
De: ****
Envois: 83220
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
remerciements Ă  tous Ă  soliane

et pénélope, je connais déjà
L .AbbAYE DU THORONET
DANS LE VAR..

doux soir étoilé aux poètes
*

Les dortoirs
le dortoir des moines :


photos personnelles 2.MAI..2O1O.



Le dortoir des frères conversIl fut construit au-dessus de la salle capitulaire au début du XIIIe siècle. À l’Ouest, huit ouvertures durent être occultées aux deux tiers vers 1250 quand les galeries du cloître furent surélevées pour faire place aux voûtes d’ogives. Lorsque, en 1910, le dortoir fut aménagé en salle de musique, il fallut masquer ces disgracieux rehaussements de pierre. Les propriétaires installèrent des vitraux de papier. Sur le mur du nord une grande fresque de la musique sacrée fut réalisée. À l’Est, trois baies reçurent des vitraux qui furent les premières créations de la verrerie des sablons.


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EVELYNE NADINE maryjo 2O11

lilas9
Envoyé le :  4/5/2010 22:01
Plume de platine
Inscrit le: 29/1/2010
De:
Envois: 8537
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
au delĂ  des mots j'ai eu plaisir Ă  visiter cette abbaye
lilas9
janov
Envoyé le :  4/5/2010 22:43
Plume d'or
Inscrit le: 22/4/2009
De: lyon
Envois: 1697
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
recueillement intense a travers votre poesie toujours elegante


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VULNERANT OMNES,ULTIMA NECAT

cyrael
Envoyé le :  6/5/2010 13:49
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 30/10/2005
De: ****
Envois: 83220
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye


remerciements aux poètes

qui me lisent, commentent et partagent nos Ă©crits

nos jours, nos soleils, nos rĂŞveries


MERCI A TOUS..


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EVELYNE NADINE maryjo 2O11

andremor
Envoyé le :  7/5/2010 9:51
Plume d'or
Inscrit le: 20/1/2010
De: nulle part
Envois: 1687
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
quelle belle architecture que je connais,dans un silence éternel,éveillé par vos doux vers
quelle sérénité,beau séjour,amitiés poétiques partagées


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Vous avez besoin d'évasion,de défoulement,alors baignez-vous dans une "OASIS" de mots parmi les vers

marie12
Envoyé le :  11/5/2010 20:15
Plume de platine
Inscrit le: 15/2/2009
De:
Envois: 2140
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye
Merci de nous entraîner ainsi avec toi dans cette visite et ce recueillement. Quel beau moment!


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Jamais je n'irai
Aussi loin que me conduit
Le chemin d'amour

(haĂŻku de Hyacinthe Vulliez-"la joie d'ĂŞtre"-Ed "les Amis de Crespiat")

cyrael
Envoyé le :  11/5/2010 22:01
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 30/10/2005
De: ****
Envois: 83220
Re: MĂ©ditation en l'Abbaye

merci Ă  vous tous

belle soirée poètes


amitiés vernales


merci Ă  vous tous


mes photos mai 2O1O..GRELOTS BLANCS
D ACACIAS..


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EVELYNE NADINE maryjo 2O11

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