It is the lark that sings so out of tune
J’ai tendrement passé mes bras
autour de ton dos, de tes épaules.
Tes seins fermes et lisses me frôlent
légèrement la peau sans embarras.
Ton ventre chaud s’est avec plaisir serré
contre mon corps courbé dans son rêve
et nos jambes, nos cuisses sans trêve
avec une volupté ardente se sont tressées.
Tranquilles, toute la nuit on a dormi,
tout nus, heureux, tranquillement unis,
nos haleines se mélangeant rythmiquement
jusqu’à l’aube, l’inévitable et cruel moment.
Avec un baiser, une dernière caresse d’amour,
on se dit adieu, on se quitte - pour toujours.
----------------
Freddie, Thèze - Haute Provence