Sur ces millier de lignes,
L’homme doit et affirme
Que ses mots prennent le sens
Qu’exige la connaissance.

Cela gère et tari le pari
Qu’il soit philosophique ou religieux repenti
L’amour dévoilé a ses vers
Et ne peuvent être lus, bien souvent, qu’en solitaire.

Alors, sous son arbre enchanté,
Les abeilles, papillons, elfes et drôlesses de fées,
Donnent le glas d’une véritable conscience
Où l’image en quatrains présentés, est de plus haute importance.

Mais la vie est une bulle de savon,
Si fragile filante sur l’horizon
Dans un bain de couleurs huilé
Devient marron et éclate en beauté.

Regarde la lune,
Oui, c’est une bulle
Qui sera bien seule
Quand la notre, si meurtrie, nous pètera au nez.


J.V

Une approche particulierement bien mise en poésie de la fragilité de notre mere la Terre.
J´ai beaucoup aimé ton écrit qui nous amene á une réflexion profonde sur le devenir de notre monde.

"Science sans conscience n'est que ruyne de l'âme" et aussi de notre terre.

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Bonjour maugui, j'ai bien aimé ta chute qui nous prouve que nous aurons le nez dans la poussière. Merci pour cet édifiant partage poétique.
Mon amitié.

Capricorne

Dans notre bulle de nantis,nous vivons égoïstement!

Certes,pour nous aussi la vie n'est pas facile ,ailleurs l'homme

lutte non pas pour les futilités mais pour se nourire et souvent

en harmonie avec la terre. Mère nourricière,blessée par l'avidité

des pays riches. Et de nouveau,ce sont les plus pauvres qui paient

un lourd tribu à "la crise"

Merci pour le remue méninge,pour ma part je ne m'en lasserai jamais.

Vive la terre et les terriens.