Nul ne peut TE comprendre. Nul ne peut vraiment T'attendre. A tes côtés sombres et diaphanes se mêlent avec délices les nuances de blanc. Tu n'es que cendre rouge, Soleil Noir, que ternes symphonies. Une profane mélodie sortie des confins d'un orgue, paradoxe de mes nuits. Telle un fantôme vivant de blêmes et fraîches senteurs, Tu m'enlaces dans ton vide, et je n'en suis que plus plein. Ta morsure m'es douce, tant que j'y aspire, et pourtant vénéneuse alors qu'accourt mon automne ; Mon amante et idylle, embrasse mon âme, illumine la de ta noirceur, et surtout,devant moi, tremble de peur. Ô douloureuse douceureuse Solitude.
----------------
Le bêtise des uns fait le bonheur des autres...